A l’épuisement professionnel correspond une série de signes émotionnels, physiques et psychiques. Apprenons à les identifier.
Gare à la surchauffe! Une surcharge de travail, consentie volontairement ou imposée par l’organisation, implique un surengagement et donc un ris que élevé de burn-out, le célèbre syndrome d’épuisement professionnel. Dans un contexte économique tendu, ce syndrome prend de l’ampleur. La Belgique le considère déjà comme une maladie professionnelle, alors que la France se fait encore tirer l’oreille. Dans l’Hexagone, pourtant, un cadre sur cinq en aurait été victime, selon une étude de Technologia, un cabinet spécialisé dans les risques professionnels. Bref, nul est à l’abri.
Or, si l’expression de burn-out nous est plus familière que jamais, combien d’entre nous savent précisément ce qu’elle recouvre? Et comment distinguer un simple passage à vide d’un véritable épuisement professionnel? Symptôme par symptôme, apprenons à faire la différence entre les signes trompeurs et les véritables motifs d’alerte.
ANXIETE
Dans le monde de l’entreprise, certains événements tels qu’un plan social ou une réorganisation peuvent mettre vos nerfs à rude épreuve.
Signes trompeurs. Il ne faut pas confondre un sentiment d’angoisse passager avec l’épuisement professionnel.