Elle dégaine une arme de son sac à main (1/10)
Le 6 mars 1981, une mère accablée par le chagrin a fait justice elle-même en abattant l’homme accusé d’avoir tué sa fille. Marianne Bachmeier est entrée dans le tribunal de Lübeck, a sorti un pistolet de son sac et a ouvert le feu sur Klaus Grabowski, suspecté d’avoir enlevé, maltraité puis tué la petite Ana, âgée de 7 ans. Il n’a pas survécu.
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Un surnom qui en dit long (2/10)
Arrêtée sur-le-champ, Marianne Bachmeier n’a jamais exprimé de regrets. Très vite, les médias l’ont surnommée “la mère vengeresse”.
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Peine réduite à trois ans (3/10)
Condamnée à six ans de prison, elle sera finalement libérée après près de trois ans d’incarcération. Quarante ans plus tard, ce jugement continue de faire débat.
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Une décision toujours controversée (4/10)
Selon une enquête de l’Allensbach Institute, l’opinion publique allemande reste divisée. 28 % trouvent la peine adaptée, 27 % la considèrent trop sévère, et 25 % estiment qu’elle était trop clémente. Même après le décès de Marianne, le sujet continue de diviser.
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