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Aucune mauvaise intention (4/10)
Après vérification, le doute n’est plus permis : le fameux croissant à la pistache ne figurait pas sur le ticket de caisse. Une erreur, selon la cliente, qui assure avoir agi de bonne foi. « Il n’y avait aucune intention derrière cela. Je n’avais pas remarqué que le croissant à la pistache n’était pas passé », insiste-t-elle. Une explication qui n’a pas suffi à calmer les esprits, ni à éviter la suite des événements.
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Un simple malentendu (5/10)
Plutôt que d’entendre un malentendu, la direction du magasin opte pour la ligne dure. La cliente se voit sommée de signer une « déclaration d’aveux », procédure qu’elle vit comme une véritable humiliation : « Je me suis sentie comme une criminelle alors que ce n’était qu’un malentendu ». Depuis, elle n’est plus la bienvenue chez Aldi. Un croissant manqué, une réputation écornée, et l’étrange sensation que la note dépasse largement les 90 centimes.
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Des amendes supplémentaires (6/10)
L’histoire aurait pu s’arrêter à un simple rappel en caisse, mais elle a pris une tournure bien plus salée. En plus d’une première amende de 200 francs suisses (215 euros) réglée sur-le-champ, la direction du magasin a décidé de signaler l’incident à la justice. Résultat : une nouvelle amende de 100 francs suisses (107 euros), à laquelle sont venus s’ajouter les frais de procédure. L’addition grimpe à 600 francs, soit près de 650 euros pour une viennoiserie censée coûter moins d’un franc.