Dans un post sur Instagram, accompagné d’une illustration satirique, Marianne James a critiqué les électeurs du Rassemblement National, multipliant les qualificatifs insultants : “bas de plafond”, “stupides”, et “bêtes à bouffer du foin”. Cette sortie franche a immédiatement provoqué un torrent de réponses négatives et une vague de désabonnements sur ses réseaux sociaux.
Dans sa vidéo de réponse, Marianne James n’a pas reculé d’un pouce. “Hello les amis, vous avez vu mon dernier post ? Le nombre de réactions, le nombre de critiques, je me suis fait défoncer par des gens très très énervés”, a-t-elle déclaré, soulignant son droit à exprimer ses opinions politiques sans filtre. Elle a confirmé qu’elle ne soutiendrait pas le RN, décrivant le parti comme ayant des racines dans le fascisme et la collaboration, des idées qu’elle estime partagées uniquement par les “personnes ignares”.
Des réactions très mitigées sur les réseaux sociaux
Jordan Bardella, figure montante du RN, n’a pas été épargné par les critiques acerbes de Marianne James. Elle a décrit le président du parti comme ayant une façade séduisante mais averti que “le diable se cache dans les détails“. Cette déclaration, loin d’apaiser les tensions, pose la question des limites de la libre expression et l’influence des personnalités publiques dans le paysage politique.