C’est moi qui défendais mes sœurs en mettant les garçons à leur place », a-t-elle confié. Un esprit combatif qu’elle a gardé : « Je ne sais pas cuisiner ni repasser, mais je sais changer une roue, faire de la plomberie et de l’électricité », a-t-elle affirmé. Et de préciser avec humour : « Je suis tout le contraire de mon apparence. Trop blonde, trop bronzée, trop de bijoux… exactement ce que je n’aime pas. »
Séparée du père de ses enfants, Caroline peut compter sur l’amour et la présence d’Alexandre et Victoire. « J’ai eu la chance de les élever seule. Leur père, jockey de métier, est parti à Hongkong lorsqu’ils étaient encore tout petits… ce qui m’a finalement bien arrangée. Ils étaient toujours avec moi.
Leurs amis vivaient chez nous, partaient en vacances avec nous », a-t-elle confié. Même si elle a essayé de prendre un peu de distance en s’installant à quelques mètres de chez eux, elle continue aujourd’hui de travailler à leurs côtés au marché Biron. Une manière pour elle de rester proche de ceux qu’elle aime le plus.