Un incident a apporté une touche d’humour à l’événement. Alors que résonnait Le Temps de l’amour, un problème technique a fait accélérer la bande sonore, provoquant des rires dans l’assemblée. Jean-Marie Périer a décrit cette scène avec émotion, se souvenant de l’esprit de Françoise Hardy : “J’avais le sentiment de la voir rire de la chaleureuse improvisation due à une erreur de sonorisation qui eut pour effet de détendre l’atmosphère parmi l’assistance”.
Une cérémonie à l’image de Françoise Hardy
Thomas Dutronc, le fils de Françoise Hardy, a pris la parole pour apaiser l’assemblée. En réponse à ce petit couac, il a fait preuve d’humour en déclarant : “Je comprends pourquoi elle avait arrêté la scène“, avant d’ajouter : “Voilà c’est fini. Elle ne voulait pas de cérémonie mais je suis sûr que celle-là l’aurait bien fait rire”.
Cet incident a permis aux présents de partager un moment de légèreté, fidèle à l’humour et à la personnalité de Françoise Hardy. Jean-Marie Périer a poursuivi sur Instagram : “Cette cérémonie ressemblait étrangement à l’humour de la Grande“. Il a même perçu ce moment comme un clin d’œil posthume de la chanteuse. À la fin des obsèques, Jean-Marie Périer a ressenti une connexion particulière, comme un ultime adieu de Françoise Hardy. Il a confié : “Les invités se parlèrent comme pour prolonger le plaisir de l’instant et j’eus la chance de rencontrer deux femmes magnifiques que je ne connaissais pas encore avec l’étrange sentiment que Françoise me les envoyait comme un dernier cadeau”.