Ezequiel Lavezzi : L’aspect financier a été un facteur important dans ma décision de rejoindre Hebei. Je ne peux pas le nier. Je n’aurais jamais pu gagner autant d’argent en Europe, peu importe l’équipe.
La fortune dont disposait alors le championnat chinois aurait donc convaincu « El Pocho », dont les envies d’ailleurs auraient cependant germé bien avant cela.
En effet, comme il l’expliquait à L’Équipe suite à son départ, Lavezzi a vite compris qu’il aurait du mal à s’épanouir en France :
Ezequiel Lavezzi : C’était bien, mais pas autant que je l’espérais. Je ne suis jamais arrivé à faire et à donner tout ce dont j’étais capable. Je n’ai pas aimé la Ligue 1. Je ne la trouvais pas motivante. C’est ça, la vérité. Mais ce n’est pas une excuse. Le PSG était tellement fort par rapport aux autres équipes. Je n’ai pas vraiment pris de plaisir dans les matches. Le temps a passé, j’ai perdu ma motivation et j’ai perdu ma place.
C’est donc sans trop de regrets que l’ancien cadre de l’Albiceleste est allé terminer sa carrière en Asie, dans un championnat plus homogène que la Ligue 1 à ses yeux.
Tenté par le projet ambitieux et le cadre de vie séduisant proposé par Paris, Ezequiel Lavezzi a cependant fini par y déchanter. En cause, la domination outrancière du PSG en Ligue 1, qui l’aurait conduit à perdre sa motivation et son amour du football.
“C’est un pays de…” : Ezequiel Lavezzi cash sur son expérience en France, il balance sur ce qu’il déteste le plus…
