Edouard Philippe cash sur sa vie intime « moi j’aime les gros…

Mais loin d’être la seule remarque de ce genre, la femme est également réduite à son apparence physique : “Marilyn a des petits seins. Normalement je n’aime pas ça. Mon truc, je l’avoue, ce serait plutôt les poitrines un peu rondes.” Et lorsque sa maîtresse ne veut plus de lui, le personnage principal ne rétorque qu’avec des généralités sexistes, telles qu’“elles ne peuvent pas avoir envie de vous utiliser simplement pour la nuit.”

DU côté des femmes politiques, on revendique aussi la littérature érotique. Marlène Schiappa, ancienne secrétaire d’Etat à l’égalité entre les femmes et les hommes, a publié en 2010 Osez l’amour des rondes. Un livre contre les diktats, pour s’assumer et s’aimer. Grande adepte de la littérature, la militante a eu recours à un pseudonyme, Marie Minelli, pour publier des livres érotiques décomplexés. Sexe, mensonge et banlieues chaudes, Osez les sexfriends ou encore Comment transformer votre mec en Brad Pitt en 30 jours, Marlène Schiappa assume être l’auteure.

Les politiques s’essayent à l’écriture

Beaucoup d’hommes et femmes politiques rédigent des livres. Certains se dirigent vers les romans d’amour, comme Bruno Le Maire. En 2014, dans une autofiction intitulée Le Ministre. L’actuel ministre de l’Economie y décrit “une scène intime avec sa femme lors d’un voyage à Venise”. D’autres racontent leur romance naissante dans un “roman osé, un petit peu cochon !” En effet, Emmanuel Macron s’est aussi essayé à la prose érotique.