La porte-parole confirme elle aussi que la zone avait “été inspectée plusieurs fois”. La piste d’un déplacement des ossements d’Émile est, selon cette dernière, “crédible” : “On a eu une battue citoyenne, on a eu des enquêteurs de la gendarmerie.
Au plus fort, on avait 80 gendarmes qui étaient mobilisés pour les recherches. […] Il ne faut pas oublier qu’on a aussi pu déposer les ossements après. Ça peut être une intervention humaine, un animal qui l’a emmené ou des conditions météorologiques qui ont modifié la configuration. […] Rien n’indique que ces ossements étaient présents au moment des recherches“. L’enquête continue.