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Le poisson local en cause (8/10)
Le lac mentionné par le patient constitue une source possible d’infection. En effet, les poissons d’eau douce peuvent servir d’hôtes intermédiaires au Dioctophyma renale. Ce simple plat local s’est donc transformé en menace invisible.
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Une infection exceptionnelle mais sérieuse (9/10)
Ce cas place l’homme parmi les rares humains infectés par un spécimen de la sorte. Selon les données, seulement 37 cas avaient été recensés dans le monde jusqu’en 2019. Le parasite touche généralement les mammifères aquatiques, mais son passage chez l’homme reste exceptionnel.
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Un danger sous-estimé (10/10)
Chaque contamination par ce parasite entraîne de lourdes conséquences. Le rein infecté doit souvent être retiré chirurgicalement. Ce cas a mis en lumière un risque médical peu connu. Les experts considèrent désormais que sa rareté le rend d’autant plus difficile à traiter.
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Un homme de 35 ans s’est rendu aux urgences dans un hôpital indien après avoir remarqué un symptôme anormal. Il n’avait pas pu uriner pendant 48 heures.