© gendarmerie nationale
Il s’agit là d’un immense bassin à ciel ouvert, crée par les agriculteurs et l’administration de la région pour irriguer les cultures ou approvisionner le bétail. Selon nos confrères, c’est à 300 mètres du domicile familial de Beaupré, à La Roche Baraton, que les gendarmes ont fait la macabre découverte. Depuis, une piste semble privilégier par les enquêteurs et le procureur.
Mort de Justine dans le Maine-et-Loire : cette dramatique théorie du procureur
Pour l’heure, les causes de la mort sont encore inconnues. Une autopsie devrait être réalisée sur le corps de Justine, afin de déterminer comment la jeune femme de 24 ans est décédée. En attendant, certains éléments mettent les enquêteurs sur la piste d’une mort accidentelle. Il semblerait que l’étudiante soit “descendue volontairement”, dans la bassine collective, afin de venir en aide à son chien.
Une hypothèse étayée par la découverte du cadavre d’un renard, immergé tout près du corps de la jeune femme, a expliqué le procureur de la République dans les colonnes du média Ouest France. L’enquête, toujours ouverte, devrait permettre de savoir avoir exactitude les causes de la mort de Justine et donner des réponses à ses proches. Quant à son chien, aucune information à son sujet n’a été divulguée.