Le refuge sénégalais de France Gall au cœur d’un scandale, la chanteuse aurait caché l’existence d’un…

France Gall avait fait de sa maison sur l’île de Ngor, au Sénégal, un refuge où elle aimait se ressourcer, prendre soin de son jardin et s’occuper des animaux. Ce lieu paisible lui offrait un havre de paix loin des projecteurs. Mais aujourd’hui, plus de six ans après sa mort, que devient cette demeure empreinte de souvenirs et si chère à la chanteuse ? Un habitant de l’île qui a bien connu la chanteuse répond à “Purepeople”.

“France Gall, la Française la plus sénégalaise est décédée”… Le 7 janvier 2018, jour de sa mort, le site d’information Dakaractu affichait ce titre à sa une. Plus qu’un hommage, une preuve indubitable de l’attachement de la chanteuse à ce pays, mais aussi à ce continent. Un attachement qui remontait à de longues années…

L’Afrique, France Gall, dont on célèbre ce 9 octobre le 77ème anniversaire de la naissance, en tombe amoureuse au milieu des années 80 en intégrant l’association Chanteurs sans frontières. Partie d’Angleterre, l’idée de ce projet humanitaire est reprise en France par Renaud qui écrit la chanson Ethiopie dont l’objectif est de collecter des fonds pour l’ONG Médecins Sans Frontières afin qu’ils puissent venir en aide aux habitants de ce pays de la corne de l’Afrique frappée par la famine. Aux côtés d’Alain Souchon, Julien Clerc, Coluche ou Jean-Jacques Goldman, France Gall entonne le célèbre titre. Il sera vendu à un million et demi d’exemplaires et rapportera 10 millions de francs (plus de 1,5 millions d’euros) à l’ONG.