Le refuge sénégalais de France Gall au cœur d’un scandale, la chanteuse aurait caché l’existence d’un…

Abdoulaye Diallo, un peintre local, voisin et ami de la chanteuse sur l’île de Ngor se souvenait dans le Parisien : _”Elle me disait : “_Je fais tout pour être là le 18 décembre (NDLR : date du décès de sa fille), parce qu’ici j’ai l’oxygène pour me ressourcer.” Dans le livre qu’a écrit cet artiste sénégalais intitulé “Le Berger de l’île de Ngor”, France Gall prenait la parole. “Nulle part ailleurs, je ne pourrais rentrer chez moi en trois minutes en pirogue. Nulle part ailleurs je ne me sentirais aussi tranquille à marcher la nuit dans le noir. Nulle part ailleurs je ne serais autant en harmonie avec la nature et ses éléments.”

France Gall désherbait tant son jardin qu’on l’appelait “Madame Propre”

Dans ce havre de paix, la chanteuse prenait son temps. “Quand elle était jeune, elle partait parfois en mer avec nous”, se souvenait en 2018 dans Le Monde Samba Diop, un pêcheur du village. Souvent, elle arpentait la plage, nus pieds, longeant les pirogues. Et parfois, elle s’arrêtait sur un petit banc de pierre faisant face à la mer, observant l’horizon qu’elle contemplait aussi depuis son jardin. Interrogé par Le Parisien en 2018, Alassane Koné, le gardien de sa maison depuis 2010 souligne qu’elle prenait aussi soin d’animaux qu’elle recueillait, Elle aimait particulièrement les chatons”. Il ajoute qu’elle s’occupait aussi beaucoup de son jardin, elle désherbait… “C’était Madame Propre” conclut-il.