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Une critique des magistrats (5/10)
Jordan Bardella a aussi largement critiqué le rôle des juges dans cette affaire. Il a dénoncé « la tyrannie des juges » et contesté leur impartialité. Conscient des dérives que pourraient engendrer ses propos, il a cependant condamné les menaces à leur encontre, insistant sur le fait qu’il rejette « la violence des mots » autant que les attaques physiques.
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La justice réaffirme son impartialité (6/10)
En réponse à ces accusations, la magistrature a défendu son indépendance. Rémy Heitz, l’un des plus hauts magistrats du pays, a ainsi affirmé que « la justice n’est pas politique, cette décision n’est pas une décision politique mais judiciaire ».
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Une application stricte de la loi (7/10)
Le procureur général a également pris la parole. Il a souligné que cette décision « a été rendue conformément à la loi, en application de textes votés par la représentation nationale ». Il a par ailleurs dénoncé les critiques visant les juges et rappelé que les menaces pouvaient valoir des poursuites judiciaires.