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Les critères du jugement (8/10)
La présidente du tribunal de Paris a expliqué les raisons de cette sanction. Selon elle, le tribunal a pris en compte « le risque de récidive » et « le trouble majeur à l’ordre public ». La justice a ainsi estimé qu’une personne déjà condamnée ne pouvait pas être candidate à la présidence du pays.
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Un système démasqué par la justice (9/10)
Les juges ont aussi mis en lumière un système organisé. Entre 2004 et 2016, le RN aurait utilisé des fonds européens pour payer des assistants parlementaires, travaillant en réalité pour le parti. Cette pratique a ainsi permis de réaliser des économies au détriment du Parlement européen.
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De lourdes conséquences pour le RN (10/10)
Cette affaire ne concerne pas seulement Marine Le Pen. En plus d’elle, vingt-trois autres personnes ont reçu des condamnations similaires. Le Rassemblement National lui-même a été reconnu coupable en tant que personne morale. Reste désormais à savoir comment la candidate déchue va s’organiser pour les prochaines élections.