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Des coûts exorbitants (7/10)
Le coût du PPT se situe entre 5 000 et 15 000 €, en fonction de la taille de la copropriété et de la complexité des audits nécessaires. Pour une résidence de 50 lots, chaque foyer devra débourser environ 100 à 300 €, alors que pour les grands ensembles, la facture totale peut vite flamber. Ce budget est bien plus élevé que celui d’un DPE classique (environ 150 €), car le PPT comprend une étude approfondie de la structure du bâtiment ainsi qu’un calendrier des travaux à prévoir sur dix ans.
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Aucune possibilité d’étalement (8/10)
« C’est trois mois de salaire qui partent en diagnostics ! », a quant à elle fulminé Élodie, propriétaire dans le Vaucluse. Ce qui préoccupe aussi les syndics, c’est que ces factures vont s’ajouter aux charges courantes, et qu’un étalement n’est pas possible. Il y aura donc des risques de pénalités pour tout report de travaux.
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Les justifications de l’État (9/10)
Les justifications de l’État pour ce PPT sont les suivantes : « 4,8 millions de passoires thermiques et 70% des immeubles construits avant 1975 nécessitent des rénovations urgentes ». « Sans PPT, les copropriétés foncent droit vers la crise énergétique et structurelle », a précisé un expert du bâtiment mandaté par le ministère.
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De nombreux désaccords (10/10)
Au vu de la situation de nombreux foyers, la majorité des gens critiquent ce plan pluriannuel de travaux. Si certains individus pensent qu’une grande quantité d’immeubles doivent être entretenus ou rénovés, d’autres estiment que les Français ont déjà beaucoup de mal à joindre les deux bouts.
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En 2025, le plan pluriannuel de travaux (PPT) devient obligatoire pour les copropriétés de plus de 15 ans. Et cela fait grincer des dents les propriétaires qui ne comprennent pas tout de ce document. Ce qu’ils savent, c’est qu’ils vont devoir encore mettre la main à la poche puisque des frais entre 5 000 et 15 000 € vont être imposés.
Source : buzzday.fr