Vendredi 29 novembre 2024, RTL révèle que deux traces ADN partielles ont été découvertes lors des analyses sur les ossements et vêtements du petit Emile. Mais celles-ci risquent d’être difficiles à identifier.
Début octobre 2024, six mois après la découverte des ossements du petit Emile, une avancée majeure était révélée dans la presse : un ADN étranger, et humain, a été décelé sur le corps du petit garçon lors d’analyses scientifiques. Mais aujourd’hui, on apprend que ce n’est non pas une, mais bien deux traces génétiques différentes qui ont été découvertes par le laboratoire d’hématologie médico-légale de Bordeaux, saisi après une première série d’expertises menées par l’Institut de recherches criminelle de la gendarmerie (IRCGN).
Selon les informations de RTL, parues ce vendredi 29 novembre 2024, “deux traces d’ADN humain et inconnu, étrangers à celui d’Emile et à ceux de sa famille” ont été relevées sur les ossements et les vêtements de l’enfant. Malheureusement, il s’agit de traces partielles : les deux ADN ont été retrouvés en petite quantité et dégradés, ce qui complique largement leur identification.