“Les vêtements et les ossements du petit garçon ont subi de très nombreuses manipulations, à la fois lors de leur découverte par une randonneuse le 30 mars dernier, mais également au moment de la première série d’analyses menées par l’IRCGN”, rappelle ainsi RTL. Car bien que les experts de la gendarmerie se munissent bien sûr de gants et autres protections avant de manipuler de telles preuves, il arrive que celles-ci puissent “devenir poreuses et laisser échapper des cellules” à cause de l’humidité ou même du temps, selon un spécialiste interrogé par nos confrères.