Des violences psychologiques dénoncées par une autre plaignante
Paola, la seconde plaignante, met en avant des violences d’un autre genre : psychologiques. Elle accuse Stéphane Plaza de comportements dégradants et de remarques humiliantes, qui auraient laissé des traces durables. Parmi les faits reprochés, deux morsures qu’elle attribue à l’animateur, bien que ce dernier les nie catégoriquement.
La relation entre Paola et Stéphane Plaza aurait également été marquée par des alternances entre dénigrement et gestes attentionnés. « Le matin, il me critiquait, le soir, il était plus doux », témoigne-t-elle. Des enregistrements sonores produits par Paola confirment des propos durs, tels que « c’est toi qui as de la chance d’être avec moi ».
La procureure souligne la gravité de ces comportements, rappelant que les violences psychologiques peuvent être tout aussi destructrices que les violences physiques. Ces accusations, combinées aux déclarations d’Amandine, dressent un portrait accablant pour Stéphane Plaza.
Une défense sur la défensive
Face aux accusations, Stéphane Plaza maintient son innocence. Il se présente comme une victime d’une « vendetta orchestrée » par plusieurs ex-compagnes. À la barre, il affirme que ces femmes auraient conspiré pour ternir sa réputation et lui nuire.