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Les mots des avocats
L’avocat de la jeune fille, Ossama Dahmane, a parlé de « procédure guidée par l’opinion publique », avançant le fait que sa cliente n’avait aucun antécédent judiciaire. L’avocat de l’enseignante, lui, regrette le fait que « le corps enseignant soit toujours victime de violences dès lors qu’on veut faire respecter une règle de droit, des principes ».
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Un syndicaliste prend la parole
Le syndicaliste Didier Georges, quant à lui, déplore un manque d’effectifs dans les établissements scolaires pour éviter ce genre d’incidents. Mais pour lui, il n’y a pas aujourd’hui « un problème majeur de violences liées à l’interdiction du port du voile. Sophie Vénétitay, elle, dresse un autre constat : « L’école et les enseignants sont parfois laissés seuls, parfois démunis face à tous les maux de la société ».
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L’école et ses problèmes
Entre le harcèlement scolaire, le racket et tous les autres problèmes qui existent dans nos écoles, cette nouvelle affaire a mis en colère le corps enseignant, mais aussi les étudiants et les parents d’élèves qui veulent un lieu de paix pour leurs enfants.