Une femme survit à une « décapitation » après que les médecins lui ont rattaché la tête

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Le diagnostic attendu pendant des années (4/10)

Ce n’est qu’en 2015 qu’un nom a été posé sur ce mystérieux syndrome qui la rongeait. Le syndrome d’Ehlers-Danlos hypermobile (SEDH). Une maladie rare, liée à une anomalie dans la fabrication du collagène par le corps de l’adolescente. Cela a provoqué chez Megan une instabilité extrême des articulations. Contrairement aux autres personnes de son âge, sa souplesse s’est muée en rigidité.

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Un traitement risqué au dénouement tragique (5/10)

À mesure que son état se dégradait, Megan a dû subir une opération urgente au niveau du cou. Une orthèse a ainsi été installée, vissée directement dans le crâne, pour stabiliser sa tête. Malheureusement, un médecin l’a retirée trop tôt, causant une dislocation interne du crâne.

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L’instant où tout s’est détaché (6/10)

Megan a alors expliqué au Daily Mail : « J’ai fait reculer mon fauteuil pour empêcher la gravité de me décapiter. Mon neurochirurgien a dû maintenir mon crâne en place avec ses mains. Je ne pouvais pas rester debout. Mon côté droit tremblait de façon incontrôlable ».

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