Alors que le rédacteur en chef du Figaro Magazine, Carl Meus, compare Jacques Chirac et Jordan Bardella, Valérie Trierweiler lui rétorque qu’il n’y a que leur ressemblance physique qui frappe. “Parce que Chirac avait fait l’ENA, il avait fait du terrain, il avait des fiches aussi, mais enfin bon. (…) Il connaissait la France, je ne suis pas sûr que ce soit le cas de Jordan Bardella”, explique la journaliste d’Hémicycle TV. Selon elle, si le président du Rassemblement national devient Premier ministre, ses électeurs pourraient rapidement être déçus.
Valérie Trierweiler : son avis tranché sur la dissolution de l’Assemblée nationale
Dimanche 9 juin, alors qu’Emmanuel Macron venait d’annoncer la dissolution de l’Assemblée nationale, Valérie Trierweiler était invitée sur RTL pour débattre de ce séisme politique. Ce jour-là, l’ancienne Première dame n’a pas mâché ses mots. “C’est quand même assez stupéfiant, moi, je n’en reviens pas qu’il prenne ce risque. Le Rassemblement national est à plus de 30%, pourquoi est-il à ce niveau-là ?”, interroge-t-elle. “Parce que les Français n’en peuvent plus du macronisme”.